Voyisha entra doucement dans l'antre des celèbres chevaliers de Naugrims. Elle ne se sentait pas vraiment à son aise car elle se savait pas à quel points ceux-ci étaient hostiles à sa venue. Elle était venue en robe, et non en armure, pour montrer qu'elle n'avait pas d'intention mauvaise. Elle pris la parole clairement, avec douceur.
Messires, je viens ici atristée par les attaques qu'a subit le seigneur Imusam, et voudrais savoir si vous êtes une réelle menace pour notre alliance ou si ce conflit va enfin se terminer.
Vous vous êtes senti agressés par notre LOY, et nous en avons discutez avec certains d'entre vous. Nous vous avons expliqué que notre tribunal était un lieu de discution entre un plaignant et ses agresseurs, et que les gardiens de la LOY n'étaient pas impliqués dans ses affaires. Nous n'avons peut-être pas étés assez clairs et nous nous sommes remis en question. Le tribunal est maintenant un "Auditorium". Nous n'avions aucune intention de vous attaqué. De plus, Melkor avait abandoné sa demande de rembourssement.
Pourquoi avez-vous attaqué Imusam? Pourquoi ? N'aviez vous vraiment pas compris nos intentions? Notre projet est difficile à mener, et Imusam n'a peut-être pas trouvé les bons mots pour l'exposer. Mais voyez les efforts que nous faisons, et comprenez ne nous ne sommes pas les nouveaux justiciers venus de nulle part nous imposer. Depuis que nous avons "osé" proposer cette LOY, nous avons eu toutes sortes de reactions. Certains seigneurs nous rejoingnent, et d'autre y voient une menace et nous attaque.
Notre debat avec vous avait pourtant porté ses fruits (remise en question de NOTRE part). Alors pourquoi avoir eu envie de regler cela par le sang?
Imusam m'a confié son poste de chef parce qu'il sera absent quelques temps, pour s'occuper de son village. Cela fait de moi votre principale interlocutrice, mais vous pouvez vous rendre à notre assemblée si vous preferer parler à quelqu'un d'autre. Chez les Gardiens de la LOY, nous avons tous le même poid, le chef n'est le chef qu'à titre administratif.
Voilà, j'èspère que mon discourt n'a pas été trop rebarbatif. Et je reste quelques instants si vous voulez me repondre.